Malade de vivre ?

La peur de vivre : Jésus libère de la crainte.
Face à un monde incertain, violent, hostile, les craintes surgissent de toutes parts. L’homme moderne essaie, à tout prix, de se sécuriser : c’est pourquoi il n’a jamais été aussi bien assuré. Il s’assure pour tout, partout et, autant que l’on peut en juger, son angoisse est loin de diminuer.

La peur empoisonne la vie d’un grand nombre. La crainte de la mort constitue une préoccupation majeure que nous n’osons pas avouer ouvertement. Y a-t-il une vie après la vie ? Qu’y a-t-il après la vie ?

Le stress : Jésus promet le repos:
L’homme a créé la machine pour ne plus avoir d’efforts à faire et pourtant … cela n’a pas allégé ses tensions intérieures qui sont de plus en plus vives. En une seule journée nous nous livrons à d’innombrables occupations. Aussi n’est-il pas étonnant que l’homme d’aujourd’hui, emporter par le tourbillon d’activités, recoure au repos artificiel que lui procurent les médicaments, somnifères, barbituriques de toutes sortes.
La France détiendrait le triste record de figurer au deuxième rang mondial pour l’utilisation des tranquillisants.

Les buts et les moyens : Jésus le sens de notre vie.
Un facteur perturbant est sans doute cette méprise de l’homme entre les buts de la vie et les moyens de la vie.
Les buts de la vie dans ses trois dimensions « physique, morale et spirituelle » ont été totalement gommés au profit des moyens d’existence présentés comme la condition au bonheur.

Pessimisme ou… Réalité?
Un malaise certain frappe notre société de consommation : en effet, la vie devient de plus en plus superficielle et artificielle. Les progrès techniques et la sophistication de notre environnement réduisent l’homme à la fonction de « presse-bouton ».
L’ordinateur, par exemple, permettait d’espérer plus de libertés ; or l’homme en est devenu captif même pour les activités les plus insignifiantes de sa vie et dépendant pour son existence.

La maladie : une obsession ? Jésus guérit encore aujourd’hui.
Il ne se passe pas un mois, pas une semaine qui ne nous apporte des nouvelles de la lutte que l’homme livre contre la maladie : cancer, sida, mucoviscidose.
Face à cela, les refuges et échappatoires de toutes sortes sont incertains et nombreux sont ceux qui vivent dans l’angoisse d’être peut-être un jour frappés par la maladie à leur tour.

Ruptures : trompé(e) et délaissé(e) : Jésus le consolateur parfait.
On annonce aujourd’hui qu’un couple sur quatre fait la douloureuse expérience de la séparation. L’engagement et la fidélité à la parole donnée deviennent un produit rare.
C’est pourquoi, l’échec dans le domaine de l’union conjugale est cuisant car il laisse derrière lui des blessures et des séquelles difficiles à oublier.
Quand il n’y a plus d’amour ! Jésus à qui l’on peut tout dire.

Il est constaté, paraît-il, que beaucoup d’individus se détruisent eux-mêmes, dépriment, sont perturbés par des troubles psychosomatiques en raison du ressentiment ou de la haine qu’ils n’ont jamais pu évacuer.

Remplir le vide.
La solitude est un autre drame dont il ne faut pas sous-estimer la souffrance. Les vieillards vivent l’abandon. De nombreux enfants, dont les foyers ont éclaté, souffrent d’être « des valises » entre leurs parents. Des milliers de gens sont entassés dans des zones d’habitation colossales dans l’ignorance de qui peut être leur voisin de palier. D’autres, en quête d’amour ou tout simplement d’un peu d’attention, mettent leur espoir dans des clubs de rencontres.

Se sentir inutile : le chômage.
On passe des années à l’école pour essayer de parvenir à un niveau de qualification suffisant. On nous répète que l’avenir appartient à ceux qui travaillent. Hélas ! La réalité est bien différente ; elle n’a plus rien à voir avec les discours entendus. Quoi de plus navrant que de voir chaque jour des hommes, des femmes, tout à fait aptes à travailler attendre …la retraite. .à la maison.

Communiquer : Est-ce possible ? Jésus le Vrai confident.
Il est étonnant que dans notre monde moderne constitué de téléphones, télévisions et satellites intercontinentaux, les relations humaines soient si peu profondes. Il est étonnant que l’on ait tant de difficultés à se confier.
L’homme a besoin de parler de ses problèmes et il désire être à la fois écouté et compris.

Message de vie, message d’espoir.
La BIBLE délivre un message à l’adresse de tous ceux qui s’interrogent. Elle offre non seulement une espérance mais bien plus encore… une expérience concrète. Dans un récit biblique qui remonte à deux mille huit cents ans (Esaïe 48 : 18), Dieu interpelle l’homme en lui demandant de se mettre à son écoute : Oh ! Si tu étais attentif à ma parole ton bien-être serait comme un fleuve.
Alors, si l’angoissé(e) d’aujourd’hui, celui ou celle dont la vie a perdu sa raison d’être, voulait faire l’expérience proposée : Croire à une vie nouvelle. Oublié son passé. Repartir à zéro.

Jésus est venu avec un formidable appel à l’adresse de tous ceux qui souffrent écrasés, et sans force sous le poids de la maladie, de l’infortune, du désespoir. Évangile de Mathieu 11 : 28 « Venez à moi vous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos ». Ne l’avez-vous jamais fait ?
Si, simplement, sincèrement, secrètement, vous demandez à Dieu, au nom de Jésus, de vous guérir, de vous soulager, de vous délivrer ! Qu’avez-vous; à perdre ?
Direz-vous que tout cela n’est qu’illusion, Dieu sortirait-il de son silence ? Oui ! N’a t-il pas promis de répondre à toute détresse, là où il verrait l’expression de la confiance.
Dieu dit dans la Bible : « Si vous me cherchez de tout votre cœur, de toute votre âme, de toute votre pensée, de toute votre force, je me laisserai trouver par vous. »

Qui nous fera voir le bonheur ?
C’est peut-être le moment pour vous, à la lecture de ces lignes, dans une relation vraie et confiante, de découvrir, par l’expérience personnelle que non seulement Dieu existe mais qu’Il est celui qui répond a tous nos besoins et communique : LA FORCE DE VIVRE.

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